Rouler à Montélimar n’est pas toujours chose facile ! Le baromètre FUB le montre : de nombreuses difficultés existent et peu d’infrastructures sont réellement adaptées ici à l’utilisation du vélo comme moyen de transport : les montiliens jugent :
- Un seul point positif : la facilité de trouver un lieu pour réparer son vélo (notre atelier « je p’neu le faire » y est sans doute pour quelque chose )
- beaucoup de points négatifs (peu de signalisation, peu de pistes adaptées, peu de prise en considération des besoins des cyclistes)
- http://montelovelo.fr/wp-content/uploads/2018/03/baro-7.pdf
La tendance déjà observée dans plusieurs pays européens se confirme dans les villes françaises : lorsque la pratique du vélo décolle, le risque d’accident diminue. On appelle ce phénomène « la sécurité par le nombre ». Il fonctionne pour les cyclistes comme pour les piétons. Plus ils sont nombreux sur l’espace public, plus ils sont prévisibles par les autres usagers, mieux ils sont vus et le risque d’accident décroit.
… il faudrait donc être de plus en plus nombreux : cela inciterait à la création d’aménagements spécifiques et amoindrirait les risques.
deux exemples de tracés en ville :
